Catherine de Médicis (1519-1589)
Mémoires françaises :: De François 1er à Henri III (1515/1589) :: Contexte de l'époque :: Personnages et influences
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Catherine de Médicis (1519-1589)
Catherine de Médicis (1519-1589).
Catherine de Médicis d’origine Italienne épousa le futur Henri II (fils de François 1er), elle devient donc dauphine de France. En 1547, son mari devient roi de France il décéda en 1559. Elle eut trois fils : François II (règne de 1559 à 1560), Charles IX (règne de 1560 à 1574) et Henri III (règne de 1574 à 1589) qui deviendront roi de France chacun leur tour et deux filles Marguerite de France (épouse de Henri de Navarre) et d’Isabelle de France (reine d’Espagne) qui deviendront reine.
Lorsque son fils François II arrive au pouvoir, les protestants commencent à vouloir revendiquer une liberté du culte. Catherine de Médicis très tolérante est d’accord pour que les protestants célèbre leur culte quant que cela reste discret. Elle doit aussi affronter les Guise (ultra catholiques) qui veulent prendre le pouvoir. A la mort de son fils, Charles IX n’a que 10 ans, elle s’empare de la couronne en devenant régente (les Guise ne deviennent plus une menace). Catherine de Médicis souhaite la paix entre catholiques et protestantes et souhaite améliorer les conditions de vie du peuple (elle convoquera plusieurs fois les Etats généraux et fera un tour de France pour rencontrer le peuple). Elle met en place l’Edit de Janvier en 1562 qui autorise les protestants à pratiquer leur culte à l’extérieur des remparts. Malheureusement, le massacre de Wally a lieu quelques mois après provoqué par le duc de Guise (anti protestants). Lors de la première guerre de religion (1562-1563, provoquée par ce massacre), elle se met en arrière et lors de la mort du duc de Guise elle propose la paix qui est acceptée. Lors de la tentative d’enlèvement de son fils en 1567, elle condamna l’acte des protestants et la guerre à de nouveau lieu suivit d’une paix. Lorsque son fils prend le pouvoir, il la garde auprès de lui. Elle continue à vouloir la paix même s’il semble qu’elle laissa faire le massacre de la Saint Barthélemy. Lorsque son troisième fils (Henri III) prend le pouvoir, elle serra un peu écartée du pouvoir. Mais elle continua à vouloir négocier la paix et parcours la France pour rencontrer le peuple, elle rencontre même les chefs protestants comme Henri de Navarre (époux de sa fille Marguerite). Lorsqu’Henri de Navarre devient dauphin, une révolte à lieu à Paris (journée des barricades en 1588) dirigé par les ultras catholiques comme le duc de Guise qui veulent prendre le pouvoir, Catherine de Médicis descendant dans les rues parisiennes pour montrer qu’elle ne craignait pas cette rébellion et que le pouvoir royal impose encore du respect. Elle se montra toujours très ferme face aux Guise même si elle désapprouva l’assassinat du duc de Guise et du cardinal de Guise ordonné par Henri III en 1589. Elle mourut quelques jours après.
Catherine de Médicis a donc toujours voulu une politique de paix entre les catholiques et les protestants et a beaucoup participé au développement de l’art et de la culture en subvention beaucoup d’artistes et des constructions. Mais elle apparait comme une femme très attachée au pouvoir et qui voulait le conserver. Elle souhaitait imposer son respect, le respect du pouvoir royal et le respect de ses fils.
Catherine de Médicis d’origine Italienne épousa le futur Henri II (fils de François 1er), elle devient donc dauphine de France. En 1547, son mari devient roi de France il décéda en 1559. Elle eut trois fils : François II (règne de 1559 à 1560), Charles IX (règne de 1560 à 1574) et Henri III (règne de 1574 à 1589) qui deviendront roi de France chacun leur tour et deux filles Marguerite de France (épouse de Henri de Navarre) et d’Isabelle de France (reine d’Espagne) qui deviendront reine.
Lorsque son fils François II arrive au pouvoir, les protestants commencent à vouloir revendiquer une liberté du culte. Catherine de Médicis très tolérante est d’accord pour que les protestants célèbre leur culte quant que cela reste discret. Elle doit aussi affronter les Guise (ultra catholiques) qui veulent prendre le pouvoir. A la mort de son fils, Charles IX n’a que 10 ans, elle s’empare de la couronne en devenant régente (les Guise ne deviennent plus une menace). Catherine de Médicis souhaite la paix entre catholiques et protestantes et souhaite améliorer les conditions de vie du peuple (elle convoquera plusieurs fois les Etats généraux et fera un tour de France pour rencontrer le peuple). Elle met en place l’Edit de Janvier en 1562 qui autorise les protestants à pratiquer leur culte à l’extérieur des remparts. Malheureusement, le massacre de Wally a lieu quelques mois après provoqué par le duc de Guise (anti protestants). Lors de la première guerre de religion (1562-1563, provoquée par ce massacre), elle se met en arrière et lors de la mort du duc de Guise elle propose la paix qui est acceptée. Lors de la tentative d’enlèvement de son fils en 1567, elle condamna l’acte des protestants et la guerre à de nouveau lieu suivit d’une paix. Lorsque son fils prend le pouvoir, il la garde auprès de lui. Elle continue à vouloir la paix même s’il semble qu’elle laissa faire le massacre de la Saint Barthélemy. Lorsque son troisième fils (Henri III) prend le pouvoir, elle serra un peu écartée du pouvoir. Mais elle continua à vouloir négocier la paix et parcours la France pour rencontrer le peuple, elle rencontre même les chefs protestants comme Henri de Navarre (époux de sa fille Marguerite). Lorsqu’Henri de Navarre devient dauphin, une révolte à lieu à Paris (journée des barricades en 1588) dirigé par les ultras catholiques comme le duc de Guise qui veulent prendre le pouvoir, Catherine de Médicis descendant dans les rues parisiennes pour montrer qu’elle ne craignait pas cette rébellion et que le pouvoir royal impose encore du respect. Elle se montra toujours très ferme face aux Guise même si elle désapprouva l’assassinat du duc de Guise et du cardinal de Guise ordonné par Henri III en 1589. Elle mourut quelques jours après.
Catherine de Médicis a donc toujours voulu une politique de paix entre les catholiques et les protestants et a beaucoup participé au développement de l’art et de la culture en subvention beaucoup d’artistes et des constructions. Mais elle apparait comme une femme très attachée au pouvoir et qui voulait le conserver. Elle souhaitait imposer son respect, le respect du pouvoir royal et le respect de ses fils.
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