Les 436 chiens de guerre du capitaine MOUFFLET

Qui se souvient du capitaine moufflet ?
Pourtant cet officier à la fière moustache est un authentique héros, un combattant humble et dévoué qui, a lui seul, a quasiment changé le cours de la première guerre mondiale, et de l’histoire.
Nous sommes en aout 1915. Le conflit, qui devait être éclair s’enlise. Sur le front l’état major est inquiet : l’hiver 1914 a était terrible et les abondante chute de neige ont rendu les chemins impraticable, même pour les chevaux et les mulets.
Impossible de ravitailler les troupes en nourriture et en munitions et d’évacuer les blessés. Pourtant, malgré de lourde perte, les lignes tiennent bon, il faut dire que l’enjeu est crucial : si elles cèdent ce sera l’invasion des armée allemande
Un homme va alors avancer une idée singulière : créer des brigades de chiens de traineau
Une première dans l’histoire des armées
Le capitaine louis moufflet a séjourné en Alaska avant la guerre ou il exploité une mine d’or.
Dans les archives poussiéreuses des armées la mission est datée du 12 aout 1915.
Le coup d’envoi d’une folle aventure : rapporté avant l’hiver la plus grande meute de chien jamais constituées. Il sera secondé dans sa tache au lieutenant René Hass, les deux hommes débarque pour New York ou une mauvaise les attends : il dispose de moins d’argent que prévus et au nom de la neutralité américaine les compagnies maritime refuse d’assuré le transport militaire français. Après avoir essuyées un nouvel échec a boston, moufflet décide de repartir à zéro depuis le Québec et il envoie HAAS en Alaska en quête des chiens de tête, les plus rares. Le temps presse dans la région ont sent les prémices de l’hiver…
Après 3 semaines de voyage Hass débarque fin septembre en arctique.
Sa chance sera de rencontré SCOTTY ALLAN l’homme qui murmure a l’oreille des chiens, une légende dans la région, qui a d’ailleurs inspirai JACK LONDON pour l’appel de la foret
Cet inlassable arpenteur du désert blanc lui permet de réunir rapidement 106 chiens, les traineaux, les harnais ainsi que 2 tonnes de saumon sec que les 2 hommes embarquent sur un cargo
106 jeunes chiens bouillonnant attaché sur une même corde ! C’est comme 3 locomotives ensemble : qu’est ce qui pouvait les arrêté ? même SCOTTY trouvé que c’était très risqué.
Note HAAS.
SCOTTY qui écrit dans ses mémoires « je savais par de douloureuse expérience qu’il aurait fallu 50 hommes pour conduire autant de chiens au ponton. Il a fallu inventer un système « il placera 28 de ses propres chiens en tête de la meute qu’il attachera à une lourde charrette tirée par des chevaux…
DE son coté a Québec MOUFFET a localisé 350 chiens éparpillés sur des milliers de km au cœur de la foret boréal. Ont l’imagine expliquant a ses interlocuteur qu’il recherche des chiens du pays pour aller en France combattre les allemands !!!
Le 27 octobre HASS note arrivé a Québec sans avoir perdu 1 seul chien derrière ces mot laconique ce dessine le premier exploit. D’autant que tout ce passe dans un climat d’extrême paranoïa, moufflet craignant que les allemands aient vent de leur mission. Plus tard dans son rapport il évoquera 3 tentatives d’empoisonnement de ses chiens et des lettres anonymes.
Quitter Québec ne sera pas facile. Les navires contactés refusent : dans cette zone les sous marin allemand coulent tout navire suspect.
Pourtant il y a urgence : la glace commence a ce formé sur le st Laurent et risque de bloqué les navires durant plusieurs mois quant aux chiens enfermé dans un hangar devienne fous.
Finalement un vieux vapeur sauvé de la casse pour les besoin de la guerre « le POMERANIAN » accepte de les embarqué et appareille le 21 novembre, d’après le registre du port il sera l’ultime navire à quitter le port et Québec pour la saison 1915 : derrière lui les eaux ce sont figées sur un route très au nord pour éviter les sous marin allemand
Il devra affronter de terrible tempête, sous la surveillance de Scotty les chiens ne bronchent pas, ils débarquent au havre le 5 décembre sur les 440 bêtes seul 4 sont mort durant le voyage les soldats français n’avaient jamais vues de chiens d’Alaska, écrit Scotty dans ses mémoires
Quand il ont vu ces petites bêtes qui avaient parcouru la moitié de la planète pour faire ce que ni les chevaux ni les mulets n’avaient pus faire ils ont cru a une plaisanterie «
Dans la neige des Vosges, ces auxiliaires venus du froid se révéleront précieux et le ravitaillement des postes jusque là inaccessible sera assuré pendant toutes la durée de la guerre. La moitié de ces animaux magnifique mourront au front, les autres seront adopter par les soldats ou les habitant de la région. Quand au capitaine Moufflet et au lieutenant Haas ils sortiront vivant de la grande tuerie. A l’issue du conflit les chiens d’Alaska furent décorés de la croix de guerre pour leur conduite exemplaire une distinction unique dans l’histoire.

Je ne connaissais pas du tout.
Vu chaud que ce n'était pas des bergers allemands sinon ça aurait fait suspect lol.

mais les bergers allemand parle t'il vraiment allemand ?