George Bidault
Mémoires françaises :: De la IVeme à la Veme République (1946/années 2010) :: Contexte de l'époque :: Personnages et influences
Page 1 sur 1
George Bidault
Georges-Augustin Bidault , né à Moulins (Allier) le 5 octobre 1899 et décédé à Cambo-les-Bains (Pyrénées-Atlantiques) le 26 janvier 1983 , est un résistant et un homme politique français.
Biographie
Jusqu'en 1944
Né le 5 octobre 1899 à Moulins (Allier), Georges Bidault fait ses études primaires et secondaires en Italie du Nord, dans le couvent de Bollengo, occupé par des Jésuites français chassés par la politique anticléricale de la IIIe République. Ses premières convictions politiques semblent avoir été forgées par la lecture d'une biographie du catholique libéral Charles de Montalembert.
Licencié d'histoire à 18 ans, il est reçu à l'agrégation d'histoire en 1925, avec le rang de major, devant Pierre Brossolette et Louis Joxe. Professeur d'histoire à Reims entre 1926 et 1931, il y noue des liens étroits avec l'un de ses élèves, le futur sociologue Roger Caillois. En 1971, celui-ci écrit à Bidault : « L'Histoire est, de loin, la moindre part de l'enseignement que j'ai reçu de vous. Vous m'avez appris bien davantage du côté du style et de la conduite de vie. » Nommé en 1931 au lycée Louis-le-Grand, à Paris, il a pour élèves le futur journaliste Jean Ferniot et le futur écrivain Jean d'Ormesson. Ce dernier évoque plus tard « l'éloquence froide » de son professeur et son « originalité d'esprit ».
Membre de l'Association catholique de la jeunesse française (ACJF) après la Première Guerre mondiale, Bidault adhère au Parti démocrate populaire (PDP) en 1931. Il est en avril 1936 candidat de ce parti aux élections législatives, dans la circonscription de Domfront et Flers (Orne), mais est battu dès le premier tour
C'est comme éditorialiste du quotidien catholique l'Aube à partir de 1934 que Bidault se fait connaître.
Il est fait prisonnier en 1940, il est libéré en sa qualité d'ancien combattant de la guerre de 1914-1918 en juillet 1941. Il enseigne alors au Lycée du Parc, à Lyon.
Résistant sous l'Occupation, dans le réseau « Combat » à Lyon, il succède à Jean Moulin en juin 1943 comme président du Conseil national de la Résistance. Dans son travail clandestin, il est aidé par sa secrétaire particulière Laure Diebold.
L'après-guerre
Le 26 août 1944, lors du défilé de la libération de Paris, Bidault descend les Champs-Élysées aux côtés du général de Gaulle. Il sera d'ailleurs effacé de ces photos par la suite[2].
Pendant la IVe République, il est l'un des fondateurs du MRP (il en est président d’honneur en 1952), principale force politique chrétienne-démocrate de l'époque. Il devient député de la Loire en 1945, mandat qu'il garde jusqu'en 1962.
De septembre 1944 à juin 1954, il appartient à de nombreux gouvernements, souvent en charge des Affaires étrangères. Il est par deux fois président du Conseil (chef du gouvernement) :
* de juin à décembre 1946, il préside le Gouvernement provisoire de la République française, à la tête d'une coalition « tripartite » (communistes, socialistes SFIO et MRP). Il exerce de fait une fonction équivalente à celle de chef de l'état et occupe également la charge de ministre des affaires étrangères.
* d'octobre 1949 à juillet 1950, à la tête d'une coalition « Troisième force » (socialistes, MRP, et diverses formation du centre-gauche et du centre-droit).
Il négocie pour la France la Charte des Nations unies, est l'un des signataires du traité franco-britannique de Dunkerque en 1947. Face au « coup de Prague » et au blocus de Berlin, il mène une politique anti-communiste. En 1948, il signe le traité de Bruxelles instituant l'Union de l'Europe occidentale. Il est favorable à la CED tout en négociant des protocoles additionnels qui limitent la portée supranationale du traité.
En août 1953, il joue un rôle important dans la déposition du sultan du Maroc. Il est candidat à la présidence de la République lors des deux premiers tours en décembre 1953.
La politique coloniale
Bidault critique la politique indochinoise de Pierre Mendès France en 1954 et la politique nord-africaine d'Edgar Faure en 1955. Il s’oppose à toute création d’un exécutif algérien en 1957. En 1958, il vote l’investiture du gouvernement du général de Gaulle. Il se sépare du MRP et crée la Démocratie chrétienne de France qui n’aura qu’un succès électoral limité. Il est l'un des 80 députés qui votent l'« amendement Salan » selon lequel le gouvernement peut procéder à des appels sous les drapeaux des citoyens français appartenant à la disponibilité et à la première réserve domiciliés en Algérie.
Le 20 mai 1962 à Rome, Georges Bidault, Jacques Soustelle, Antoine Argoud et Pierre Sergent constituent le comité exécutif du Conseil national de la Résistance (CNR), visant à défendre l’Algérie française, et désignent Georges Bidault comme président.
En juillet 1962 au lendemain de l’indépendance de l’Algérie, l’immunité parlementaire de Georges Bidault est levée pour avoir fondé à l’étranger un « C.N.R. ». Il quitte la France en 1963 comme réfugié politique. Menant une vie clandestine, et apprenant l’enlèvement du colonel Antoine Argoud à Munich par des hommes des services spéciaux français, Georges Bidault publie un article virulent et est immédiatement expulsé d’Allemagne vers le Portugal qui à son tour l’expulse vers le Brésil, où il passera plus de quatre ans avec son épouse Suzanne. De retour en Belgique en 1967 avant de rentrer en France en juin 1968. Il crée alors le mouvement Justice et Liberté, qui sera l'une des composantes d'Ordre Nouveau à sa création mais s'en écartera rapidement.
Divers
Georges Bidault a épousé Suzanne Borel, première femme à avoir été conseiller d'ambassade et qui est devenue directrice adjointe de son cabinet. Suzanne Borel a largement inspiré le personnage de « Mademoiselle Crapotte » dans le roman autobiographique de Roger Peyrefitte La Fin des ambassades.
Il a été inhumé à La Celle-les-Bordes dans les Yvelines.
Fonctions gouvernementales
* Ministre des Affaires étrangères du gouvernement Charles de Gaulle (1) (du 10 septembre 1944 au 21 novembre 1945)
* Ministre des Affaires étrangères du gouvernement Charles de Gaulle (2) (du 21 novembre 1945 au 26 janvier 1946)
* Ministre des Affaires étrangères du gouvernement Félix Gouin (du 26 janvier au 24 juin 1946)
* Président du GPRF (Gouvernement provisoire de la République française) et ministre des Affaires étrangères (du 24 juin au 16 décembre 1946)
* Ministre des Affaires étrangères du gouvernement Paul Ramadier (1) (du 22 janvier au 22 octobre 1947)
* Ministre des Affaires étrangères du gouvernement Paul Ramadier (2) (du 22 octobre au 24 novembre 1947)
* Ministre des Affaires étrangères du gouvernement Robert Schuman (1) (du 24 novembre 1947 au 26 juillet 1948)
* Président du Conseil du 28 octobre 1949 au 2 juillet 1950
* Vice-président du Conseil du gouvernement Henri Queuille (2) (du 2 au 12 juillet 1950)
* Vice-président du Conseil du gouvernement Henri Queuille (3) (du 10 mars au 11 août 1951)
* Vice-président du Conseil et ministre de la Défense nationale du gouvernement René Pleven (2) (du 11 août 1951 au 20 janvier 1952)
* Vice-président du Conseil et ministre de la Défense nationale du gouvernement Edgar Faure (1) (du 20 janvier au 8 mars 1952)
* Ministre des Affaires étrangères du gouvernement René Mayer (du 8 janvier au 28 juin 1953)
* Ministre des Affaires étrangères du gouvernement Joseph Laniel (1) (du 28 juin 1953 au 19 juin 1954)
* Ministre des Affaires étrangères du gouvernement Charles de Gaulle (1) (du 10 septembre 1944 au 21 novembre 1945)
* Ministre des Affaires étrangères du gouvernement Charles de Gaulle (2) (du 21 novembre 1945 au 26 janvier 1946)
* Ministre des Affaires étrangères du gouvernement Félix Gouin (du 26 janvier au 24 juin 1946)
* Président du GPRF (Gouvernement provisoire de la République française) et ministre des Affaires étrangères (du 24 juin au 16 décembre 1946)
* Ministre des Affaires étrangères du gouvernement Paul Ramadier (1) (du 22 janvier au 22 octobre 1947)
* Ministre des Affaires étrangères du gouvernement Paul Ramadier (2) (du 22 octobre au 24 novembre 1947)
* Ministre des Affaires étrangères du gouvernement Robert Schuman (1) (du 24 novembre 1947 au 26 juillet 1948)
* Président du Conseil du 28 octobre 1949 au 2 juillet 1950
* Vice-président du Conseil du gouvernement Henri Queuille (2) (du 2 au 12 juillet 1950)
* Vice-président du Conseil du gouvernement Henri Queuille (3) (du 10 mars au 11 août 1951)
* Vice-président du Conseil et ministre de la Défense nationale du gouvernement René Pleven (2) (du 11 août 1951 au 20 janvier 1952)
* Vice-président du Conseil et ministre de la Défense nationale du gouvernement Edgar Faure (1) (du 20 janvier au 8 mars 1952)
* Ministre des Affaires étrangères du gouvernement René Mayer (du 8 janvier au 28 juin 1953)
* Ministre des Affaires étrangères du gouvernement Joseph Laniel (1) (du 28 juin 1953 au 19 juin 1954)
Décorations
* Grand Croix de la Légion d'honneur
* Compagnon de la Libération - décret du 27 août 1944
d'après wikipédia
Biographie
Jusqu'en 1944
Né le 5 octobre 1899 à Moulins (Allier), Georges Bidault fait ses études primaires et secondaires en Italie du Nord, dans le couvent de Bollengo, occupé par des Jésuites français chassés par la politique anticléricale de la IIIe République. Ses premières convictions politiques semblent avoir été forgées par la lecture d'une biographie du catholique libéral Charles de Montalembert.
Licencié d'histoire à 18 ans, il est reçu à l'agrégation d'histoire en 1925, avec le rang de major, devant Pierre Brossolette et Louis Joxe. Professeur d'histoire à Reims entre 1926 et 1931, il y noue des liens étroits avec l'un de ses élèves, le futur sociologue Roger Caillois. En 1971, celui-ci écrit à Bidault : « L'Histoire est, de loin, la moindre part de l'enseignement que j'ai reçu de vous. Vous m'avez appris bien davantage du côté du style et de la conduite de vie. » Nommé en 1931 au lycée Louis-le-Grand, à Paris, il a pour élèves le futur journaliste Jean Ferniot et le futur écrivain Jean d'Ormesson. Ce dernier évoque plus tard « l'éloquence froide » de son professeur et son « originalité d'esprit ».
Membre de l'Association catholique de la jeunesse française (ACJF) après la Première Guerre mondiale, Bidault adhère au Parti démocrate populaire (PDP) en 1931. Il est en avril 1936 candidat de ce parti aux élections législatives, dans la circonscription de Domfront et Flers (Orne), mais est battu dès le premier tour
C'est comme éditorialiste du quotidien catholique l'Aube à partir de 1934 que Bidault se fait connaître.
Il est fait prisonnier en 1940, il est libéré en sa qualité d'ancien combattant de la guerre de 1914-1918 en juillet 1941. Il enseigne alors au Lycée du Parc, à Lyon.
Résistant sous l'Occupation, dans le réseau « Combat » à Lyon, il succède à Jean Moulin en juin 1943 comme président du Conseil national de la Résistance. Dans son travail clandestin, il est aidé par sa secrétaire particulière Laure Diebold.
L'après-guerre
Le 26 août 1944, lors du défilé de la libération de Paris, Bidault descend les Champs-Élysées aux côtés du général de Gaulle. Il sera d'ailleurs effacé de ces photos par la suite[2].
Pendant la IVe République, il est l'un des fondateurs du MRP (il en est président d’honneur en 1952), principale force politique chrétienne-démocrate de l'époque. Il devient député de la Loire en 1945, mandat qu'il garde jusqu'en 1962.
De septembre 1944 à juin 1954, il appartient à de nombreux gouvernements, souvent en charge des Affaires étrangères. Il est par deux fois président du Conseil (chef du gouvernement) :
* de juin à décembre 1946, il préside le Gouvernement provisoire de la République française, à la tête d'une coalition « tripartite » (communistes, socialistes SFIO et MRP). Il exerce de fait une fonction équivalente à celle de chef de l'état et occupe également la charge de ministre des affaires étrangères.
* d'octobre 1949 à juillet 1950, à la tête d'une coalition « Troisième force » (socialistes, MRP, et diverses formation du centre-gauche et du centre-droit).
Il négocie pour la France la Charte des Nations unies, est l'un des signataires du traité franco-britannique de Dunkerque en 1947. Face au « coup de Prague » et au blocus de Berlin, il mène une politique anti-communiste. En 1948, il signe le traité de Bruxelles instituant l'Union de l'Europe occidentale. Il est favorable à la CED tout en négociant des protocoles additionnels qui limitent la portée supranationale du traité.
En août 1953, il joue un rôle important dans la déposition du sultan du Maroc. Il est candidat à la présidence de la République lors des deux premiers tours en décembre 1953.
La politique coloniale
Bidault critique la politique indochinoise de Pierre Mendès France en 1954 et la politique nord-africaine d'Edgar Faure en 1955. Il s’oppose à toute création d’un exécutif algérien en 1957. En 1958, il vote l’investiture du gouvernement du général de Gaulle. Il se sépare du MRP et crée la Démocratie chrétienne de France qui n’aura qu’un succès électoral limité. Il est l'un des 80 députés qui votent l'« amendement Salan » selon lequel le gouvernement peut procéder à des appels sous les drapeaux des citoyens français appartenant à la disponibilité et à la première réserve domiciliés en Algérie.
Le 20 mai 1962 à Rome, Georges Bidault, Jacques Soustelle, Antoine Argoud et Pierre Sergent constituent le comité exécutif du Conseil national de la Résistance (CNR), visant à défendre l’Algérie française, et désignent Georges Bidault comme président.
En juillet 1962 au lendemain de l’indépendance de l’Algérie, l’immunité parlementaire de Georges Bidault est levée pour avoir fondé à l’étranger un « C.N.R. ». Il quitte la France en 1963 comme réfugié politique. Menant une vie clandestine, et apprenant l’enlèvement du colonel Antoine Argoud à Munich par des hommes des services spéciaux français, Georges Bidault publie un article virulent et est immédiatement expulsé d’Allemagne vers le Portugal qui à son tour l’expulse vers le Brésil, où il passera plus de quatre ans avec son épouse Suzanne. De retour en Belgique en 1967 avant de rentrer en France en juin 1968. Il crée alors le mouvement Justice et Liberté, qui sera l'une des composantes d'Ordre Nouveau à sa création mais s'en écartera rapidement.
Divers
Georges Bidault a épousé Suzanne Borel, première femme à avoir été conseiller d'ambassade et qui est devenue directrice adjointe de son cabinet. Suzanne Borel a largement inspiré le personnage de « Mademoiselle Crapotte » dans le roman autobiographique de Roger Peyrefitte La Fin des ambassades.
Il a été inhumé à La Celle-les-Bordes dans les Yvelines.
Fonctions gouvernementales
* Ministre des Affaires étrangères du gouvernement Charles de Gaulle (1) (du 10 septembre 1944 au 21 novembre 1945)
* Ministre des Affaires étrangères du gouvernement Charles de Gaulle (2) (du 21 novembre 1945 au 26 janvier 1946)
* Ministre des Affaires étrangères du gouvernement Félix Gouin (du 26 janvier au 24 juin 1946)
* Président du GPRF (Gouvernement provisoire de la République française) et ministre des Affaires étrangères (du 24 juin au 16 décembre 1946)
* Ministre des Affaires étrangères du gouvernement Paul Ramadier (1) (du 22 janvier au 22 octobre 1947)
* Ministre des Affaires étrangères du gouvernement Paul Ramadier (2) (du 22 octobre au 24 novembre 1947)
* Ministre des Affaires étrangères du gouvernement Robert Schuman (1) (du 24 novembre 1947 au 26 juillet 1948)
* Président du Conseil du 28 octobre 1949 au 2 juillet 1950
* Vice-président du Conseil du gouvernement Henri Queuille (2) (du 2 au 12 juillet 1950)
* Vice-président du Conseil du gouvernement Henri Queuille (3) (du 10 mars au 11 août 1951)
* Vice-président du Conseil et ministre de la Défense nationale du gouvernement René Pleven (2) (du 11 août 1951 au 20 janvier 1952)
* Vice-président du Conseil et ministre de la Défense nationale du gouvernement Edgar Faure (1) (du 20 janvier au 8 mars 1952)
* Ministre des Affaires étrangères du gouvernement René Mayer (du 8 janvier au 28 juin 1953)
* Ministre des Affaires étrangères du gouvernement Joseph Laniel (1) (du 28 juin 1953 au 19 juin 1954)
* Ministre des Affaires étrangères du gouvernement Charles de Gaulle (1) (du 10 septembre 1944 au 21 novembre 1945)
* Ministre des Affaires étrangères du gouvernement Charles de Gaulle (2) (du 21 novembre 1945 au 26 janvier 1946)
* Ministre des Affaires étrangères du gouvernement Félix Gouin (du 26 janvier au 24 juin 1946)
* Président du GPRF (Gouvernement provisoire de la République française) et ministre des Affaires étrangères (du 24 juin au 16 décembre 1946)
* Ministre des Affaires étrangères du gouvernement Paul Ramadier (1) (du 22 janvier au 22 octobre 1947)
* Ministre des Affaires étrangères du gouvernement Paul Ramadier (2) (du 22 octobre au 24 novembre 1947)
* Ministre des Affaires étrangères du gouvernement Robert Schuman (1) (du 24 novembre 1947 au 26 juillet 1948)
* Président du Conseil du 28 octobre 1949 au 2 juillet 1950
* Vice-président du Conseil du gouvernement Henri Queuille (2) (du 2 au 12 juillet 1950)
* Vice-président du Conseil du gouvernement Henri Queuille (3) (du 10 mars au 11 août 1951)
* Vice-président du Conseil et ministre de la Défense nationale du gouvernement René Pleven (2) (du 11 août 1951 au 20 janvier 1952)
* Vice-président du Conseil et ministre de la Défense nationale du gouvernement Edgar Faure (1) (du 20 janvier au 8 mars 1952)
* Ministre des Affaires étrangères du gouvernement René Mayer (du 8 janvier au 28 juin 1953)
* Ministre des Affaires étrangères du gouvernement Joseph Laniel (1) (du 28 juin 1953 au 19 juin 1954)
Décorations
* Grand Croix de la Légion d'honneur
* Compagnon de la Libération - décret du 27 août 1944
d'après wikipédia
elsass 68- Messages : 17
Points : 37
Date d'inscription : 27/12/2011
Mémoires françaises :: De la IVeme à la Veme République (1946/années 2010) :: Contexte de l'époque :: Personnages et influences
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum